L’Etat français a ainsi trouvé une subtilité juridique pour permettre aux actionnaires français de contrôler la situation en cas de problème.
Fincantieri sera propriétaire de 50 % du capital. Les autres 50 % seront aux mains du camp français. Ils seront répartis entre l’Etat, à 34,34 %, le groupe public militaire Naval Group (ex-DCNS) pour 10 %, ainsi que les salariés (2 %) et des sous-traitants de l’entreprise dans la région de Saint-Nazaire (3,66 %), de manière très minoritaire.
Emmanuel Macron a indiqué « nous avons construit les termes d’un accord qui permette à Fincantieri de diriger les destinées de cette entreprise », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse conjointe avec le chef du gouvernement italien, Paolo Gentiloni, à Lyon. Ce qui revient à dire que Fincantieri est le patron chez lui.
D’un point de vue juridique si l’Etat Français retire le prêt des 1% à Fincantieri les français et les italiens se retrouveront à égalité et la société ne pourra pas prendre de décisions nouvelles.
Reste que le plus important est le contenu du pacte d’actionnaires, que personne ne connaît, et qui sera nommé pour diriger l’entreprise.
Les syndicats se sont d’ailleurs empressés de réclamer la transparence totale sur le pacte d’actionnaires.
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