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Saint-Nazaire : un nouveau bureau pour les Verts locaux EELV

Le groupe local EELV Saint-Nazaire Agglomération à élu son nouveau bureau lors de sa dernière assemblée générale.
Raphaël Mégrier  Anne-Cécile Anthony  EELV
Raphaël Mégrier Anne-Cécile Anthony EELV

La nouvelle équipe s’articule autour de cinq personnes. Raphaël Mégrier (enseignant en physique chimie - 39 ans) et Anne-Cécile Anthony (secrétaire - 37 ans) prennent la suite de la coordination jusqu’alors assurée par Pascale Hameau. Gaëlle Dubois (conseillère principale d’éducation - 47 ans), Laura Soyer (cheffe de projets - 37 ans) et Yvon Audel (retraité - 71 ans) complètent l’équipe.

Ce nouveau bureau souhaite œuvrer activement au développement et à la dynamisation du groupe local EELV, fédérer autour des questions d’écologie et s’investir dans les campagnes électorales à venir. Le groupe local EELV Saint-Nazaire Agglomération à pour but d'accueillir les nouveaux et nouvelles adhérentes de leur assurer une formation initiale, d'assurer une formation et une information permanente aux adhérent.es de promouvoir l'écologie politique auprès du public, de susciter et de participer à la vie du territoire, d'organiser toutes les actions dans ce but, de faire le lien entre les élus locaux et les militant.es et de décider directement ou par l'intermédiaire des représentant.es des orientations fondamentales d’EELV.

03/11/2021 | 1 commentaire
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Vos commentaires

#1 - Le 08 novembre 2021 à 17h21 par Chloé, Saint-nazaire
Ce n'est pas une question nazairienne, mais je ne peux m'empêcher de souligner comme le fait ci-dessous Jean-Luc Mélenchon ci-dessous qu'une écologie véritable est contraire aux traités européens et qu'il faut le dire

"Mais Yannick Jadot défend aussi le « made in Europe ». À minima dit-il. Son raisonnement atteint ici ses limites. A-t-il oublié le cataclysme provoqué en France par la suppression des quotas de l’Union Européenne sur les importations de textiles chinois en 2008 ? D’autant que la concurrence n’est pas seulement chinoise. Elle est aussi européenne. Ainsi, en 2015, un tiers des importations françaises viennent de pays européens à bas coût social.

En fait, on touche sur ce point la limite du raisonnement et de la crédibilité des affirmations de Jadot. Il affirme incarner une candidature « proeuropéenne ». Or, les traités européens interdisent tout changement en profondeur de nos façons de produire et d’échanger. D’abord, sa proposition de modulation de TVA pour aider à relocaliser est une usine à gaz en vérité impraticable. Mais surtout, il n’est nullement garanti que les gardiens de traités européens le permettent. En effet, toute valorisation des produits français dans les marchés publics face à d’autres est condamnée par avance. En effet, la discrimination entre différents produits circulant dans le marché intérieur européen en fonction de leur provenance est considérée comme une entrave à la concurrence. Yannick Jadot le sait parfaitement. On peut donc penser qu’il va progressivement avancer dans notre direction aussi pour réclamer la fin de ces traités.

Et ce n’est pas le seul hic. Pour réindustrialiser le pays, il faudrait un plan d’investissement massif au service de la bifurcation écologique. Mais cela est incompatible avec les règles budgétaires européennes. Cerise sur le gâteau, les traités européens consacrent le libre-échange pour l’intérieur de l’Union comme pour ses relations avec les pays tiers. À l’opposé du protectionnisme donc.

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