Le VIP s’ouvre pour les journées du patrimoine (les 15 et 16 septembre). Elles osent la curiosité, le dévoilement et l'exploration. Le thème des « patrimoines cachés » vous invite à suivre pas à pas l'esprit vagabond. Montez les marches, poussez les portes, déambulez dans la salle et découvrez : le back-stage, les studios de répétition, les coulisses, les loges d’artistes, traversez les alvéoles étonnantes de la base sous-marine.
L’alvéole 14 se transforme en sono géante le 3 novembre. Au programme : le groupe d’electro nantais, C2C, quadruples champions du monde DMC rebranchent les Technics MK2 et signent leur grand retour.
À suivre Champagne Champagne, groupe rock punk rap de Seattle, un trio afro-futuriste de Seattle qui pétille d’une noirceur magnétique et vibrante qui vous montera à la tête !
Hyphen Hyphen, des rockers niçois, influencés par Talking Heads, Phoenix, Klaxons ou Late of the Pier.
Les Angevins de Zenzile viennent avec un nouvel album et un nouveau chanteur. Aller simple vers de nouveaux horizons.
Les New-Yorkais de M.O.P. représentent le hip hop hardcore east coast depuis leur début !
School is cool proposent du rock orchestral ambitieux à donner des frissons comme Arcade Fire ou B. Springsteen.
BRNS est un quatuor d'artistes multi-instrumentistes aux mélodies mystiques, sombres et irrésistiblement accrocheuses.
Le 25 septembre à 21 h 00, c’est The Chap qui sera au VIP. Composée entre les deux Mecques de l’indé, Londres et Berlin, l’électro-pop lo-fi de The Chap s’est assagie. Si de leur passé dada ils n’ont pas vraiment fait table rase, leur musique plaira aux amateurs de Metronomy. Ces adeptes de l’impro free laissent autant perplexe qu’extatique en live.
Le 27 septembre aussi à 21 h 00, c’est le Chapelier fou qui prend la relève. Le violoniste Louis Warynski mérite son épithète au vu de ses expérimentations fascinantes conviant électro et instrumentations plus classiques. Derrière des mélodies raffinées et accrocheuses se cachent une étonnante complexité et un travail d'écriture rare.
Le 17 octobre à 21h, du blues africain avec Boubacar Traoré. Très grand monsieur de la musique malienne, il nous fait lire dans ses mélodies comme dans un livre ouvert sur les origines du blues. Entre similitudes frappantes et traditions africaines, Boubacar Traoré trace un sillon sinueux, à l’image de sa vie mouvementée que cet enfant des indépendances raconte avec beaucoup de pudeur dans ses textes.
Le 19 octobre à 21 h 00, c’est Small’s’stones et Echoes qui prennent la relève. D’inspiration blues-rock en passant par le rock psychédélique, c’est dans cet univers que les Small’s’stones évoluent à travers leurs compo perso et leurs reprises. Echoes, c'est du rock avec un soupçon de funk et de blues rock. La sauce a pris entre ces amis nazairiens, dans le fond d'un amphi il y a de ça trois ans. L'évolution récente de la formation et du répertoire oriente désormais Echoes vers un rock frais et un funk électrique, à moins que ce ne soit l'inverse…
Le 14 décembre, première scène Sacem dans le cadre de la tournée Chantier des Francos « Talents d’ici » avec Manon : un violon et une basse l’accompagnent au chant et au ukulélé. Ses petites histoires et ses galeries de personnages y trouvent un cocon idéal pour libérer toute leur poésie.
Moongaï, de duo à quatuor, de tremplins (Jeunes Charrues, Prix Médiator, Découverte Le Mans cité chanson) en rencontres fondatrices (récente signature sur le label Warner), Moongaï n’a cessé de parfaire sa « french électro-pop » excentrique, amalgame de nappes ronflantes, rythmiques épileptiques et d’histoires étranges.
Élodie Rama, jeune chanteuse de soul du Blue Apple Quartet se la joue solo, enfin presque puisqu’elle sera accompagnée d’Herve Godard (Hocus Pocus) à la guitare et de Shenroc (Nouvel R) au beatbox.
La suite le 15 décembre avec le son libérateur de Cabadzi fait de beatbox, de voix et d’instruments classiques qui ouvrent les portes à une écriture fine et poétique novatrice.
Rover s’est imposé directement comme une révélation à la trajectoire prometteuse. Derrière son imposante stature se cache un songwriter hors pair, rockeur moderne amoureux des arrangements analogiques, fan de Brian Wilson comme d’Interpol.
François and the Altas Mountains et leur pop électro-africanisante, « entre Jacques Prévert et Talking Heads » est déjà bien cartographiée dans le paysage hexagonal : révélation du Printemps de Bourges, quatre albums dont le dernier signé chez les Londoniens de Domino Records, excusez du peu !
Le 15/07/2023 par Lelièvre Joël dans
Philippe Caillaud est le dernier paysan de Saint-Marc
Le 01/04/2023 par hebting dans
Découverte des cuisines de la cité Georges Charpak
Le 17/02/2022 par Legeay dans
Une maison conteneur à l’Immaculée
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